Problème de langage.
Dim 1 Déc - 14:17
Bonjour,
Voilà un sujet qui évoque des notion souvent évoquées :
http://www.les-mathematiques.net/phorum/read.php?12,1898514
- la distinction entre variable discrète ou continue,
- une variable est une fonction, donc l'un de ses résultats est un évènement, généralement associable à un nombre,
- apparemment, le langage des énoncés n'est pas le même que celui de l'enseignement
- j'ai acheté le livre d'Olivier Garet en supposant que le premier chapitre serait constitué de définitions, d'éclaircissements sur des expressions qui ont autant de sens différents que d'utilisateurs. Au lieu de ça, dans les toutes premières pages il y a un théorème bizarre. Je lui ai demandé un exemple qui illustre ou confirme ce théorème. Pas eu de réponse. En fait, forcément, puisque ce théorème est faux.
L'expression "la probabilité de l'événement A à la date i" est bien écrite dans un énoncé.
Voilà ce que je pense : les probabilités reposent sur des notions connues depuis deux siècles. Kolmogorov, peut-être pour justifier son poste dans le contexte troublé qu'il devait affronter, a écrit des axiomes qui étaient susceptibles de plaire. De professeur en élèves des notions étonnantes se sont transmisent, par exemple la multiplicité des hasard(s), la limitation à l'inégalité de Bienaymé démontrée par Tchebychev etc.
On en arrive même à la mauvaise foi caractérisée, dans son bouquin "Toutes les mathématiques du monde", l'auteur en évoquant un paradoxe célèbre, oublie la vraie solution à adopter.
Voilà un sujet qui évoque des notion souvent évoquées :
http://www.les-mathematiques.net/phorum/read.php?12,1898514
- la distinction entre variable discrète ou continue,
- une variable est une fonction, donc l'un de ses résultats est un évènement, généralement associable à un nombre,
- apparemment, le langage des énoncés n'est pas le même que celui de l'enseignement
- j'ai acheté le livre d'Olivier Garet en supposant que le premier chapitre serait constitué de définitions, d'éclaircissements sur des expressions qui ont autant de sens différents que d'utilisateurs. Au lieu de ça, dans les toutes premières pages il y a un théorème bizarre. Je lui ai demandé un exemple qui illustre ou confirme ce théorème. Pas eu de réponse. En fait, forcément, puisque ce théorème est faux.
L'expression "la probabilité de l'événement A à la date i" est bien écrite dans un énoncé.
Voilà ce que je pense : les probabilités reposent sur des notions connues depuis deux siècles. Kolmogorov, peut-être pour justifier son poste dans le contexte troublé qu'il devait affronter, a écrit des axiomes qui étaient susceptibles de plaire. De professeur en élèves des notions étonnantes se sont transmisent, par exemple la multiplicité des hasard(s), la limitation à l'inégalité de Bienaymé démontrée par Tchebychev etc.
On en arrive même à la mauvaise foi caractérisée, dans son bouquin "Toutes les mathématiques du monde", l'auteur en évoquant un paradoxe célèbre, oublie la vraie solution à adopter.
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